En toute sincérité, je me sens incapable de classifier de ce livre. Si je le place dans la section « théologie », il répond à sa classification, mais il ne serait pas incorrect de le ranger dans la section « Vatican ». Quoi qu’il en soit, je reste convaincu qu’il s’agit d’un très bon livre que j’encourage tout le monde à lire, mais avant tout, il importe de réfléchir au message qu’il essaye de nous transmettre.

Les larmes de Jésus, un livre émouvant que j’ai lu avec le plus grand intérêt. Je suis catholique et je crois à l’enseignement de l’Église, mais la lecture de cet ouvrage m’a procuré de grandes émotions même s’il n’est question que d’un roman, il s’agit en tous cas d’un très beau roman.

Les larmes de Jésus, livre écrit par Peter Chavier, est un roman à suspense. Le pape et les cardinaux sont des personnages de fiction. Il se trouve cependant que des phénomènes semblables à ceux signalés dans le « syndrome d’aversion à la croix » décrits dans cet ouvrage, se produisent actuellement dans différentes parties du monde.

 

La bibliothèque de Toyoda est l’un de mes endroits préférés. C’est un lieu d’apaisement. Situé à cinq minutes à pied de mon domicile, l’immeuble remarquablement construit dispose d’une vaste salle destinée aux lecteurs. On peut y emprunter une quinzaine de livres en une seule fois. Il est également possible d’y lire sur place un certain nombre de journaux. Les livres empruntés peuvent être conservés un mois, ce qui est intéressant financièrement.

L’autre jour, j’ai entrepris de lire Les Larmes de Jésus. L’ouvrage me paraissant intéressant, je l’ai emprunté et l’ai lu d’une seule traite. C’est à la fois un roman et une fiction. On peut le lire pour se distraire, mais des faits historiques du christianisme y sont introduits d’une manière subtile, ce qui rend ce roman mystérieusement passionnant et plein d’attraits.

Les larmes de Jésus, de Peter Chavier, ressemble à un mystère émouvant et provoquant qui se situe à notre époque dans la ville de Rome. Le père Yamamoto et la sœur Thérèse, un prêtre et une religieuse, constituent les personnages principaux du récit. On apprend, dès le début de l’histoire que le clergé s’inquiète d’un phénomène qui se répand parmi les catholiques et que l’on a nommé « syndrome d’aversion à la croix ». Des symptômes se manifestent chez certaines personnes dès qu’elles observent une croix portant l’image de Jésus. Une série de symptômes en rapport avec ce syndrome sont rapportés selon lesquels cet objet saint serait désacralisé. Toutefois, une investigation plus approfondie révèle que c’est la croix elle-même et non l’image de Jésus qui fait l’objet d’un vandalisme caractérisé.

 

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